Fini l’Insomnie

Vaincre l’insomnie de manière naturelle sans médicaments.

Un accompagnement privé, en toute confidentialité, sur mesure, pour « Vaincre l’insomnie ».

 

Calmez vos angoisses

 

Endormez vous rapidement

 

 

Ne vous réveillez plus la nuit

 

 

Réveillez vous en pleine forme

 La maîtrise du sujet :

le Dr Pérémarty, Médecin du sommeil, a créé à Montpellier, en 2002 jusqu’à 2013, en exercice libéral, l’un des premiers cabinets de consultation spécialisée, exclusivement dédiée aux troubles du sommeil. C’est grâce à ses nombreux patients, qu’il a pu développer une approche innovante sur le sommeil, qui en plus de tout ce qu’on sait déjà, fait une différence entre la fatigue et la somnolence, permettant de mieux comprendre le fonctionnement du sommeil.

« Selon nous, pour bien contrôler son sommeil, il faut avant toute chose en avoir compris le fonctionnement. » source site web sommeil-mg.net

J’utilise, donc tout ce que j’ai appris avec le Docteur Pérémarty, et les méthodes reconnues de la TCC, ainsi que La PNL, le Coaching et l’hypnose, qui sont des outils de changement puissants et réputés. La grande force de cet accompagnement réside dans les travaux du Dr Pérémarty.

 

Le « Syndrome d’hyposommeil » est une hypothèse très innovante parce qu’elle place la fatigue bien en amont de l’insomnie, et non plus le contraire comme c’est l’usage.
C’est ce que résume la formule suivante : « L’histoire médicale d’un « spasmophile » est la chronique d’une insomnie annoncée ».

 La spasmophilie, les troubles fonctionnels, la fibromyalgie, et la fatigue chronique, seraient des signaux d’alarme du corps, indiquant que nous avons dépassé notre seuil de tolérance à la fatigue extrême. En cas d’aggravation des symptômes, l’insomnie devient inéluctable.

L’insomnie est donc une conséquence et non une cause des troubles rencontrés par la personne atteinte.

source site web sommeil-mg.net – le train du syndrome d’hyposommeil

 

 

Pour commencer c’est simple

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1er appel gratuit 20 minutes.

Nous évaluons ensemble qu’il s’agit bien d’un trouble de l’insomnie

1er Rendez vous

D’abord je vous écoute, ainsi nous mettons ensemble en place un plan d’accompagnement personnalisé et programmons nos prochaines séances.

Une fois terminé, c'est pas terminé

Une fois l’accompagnement finit je vous offres les 2 séances suivantes pour les éventuelles rechutes, en soutien.

Apprendre à dormir en 7 points

source sommeil-mg.net – apprendre à dormir en 7 points

Ne jamais « forcer » contre sa volonté (la motivation est éveillante) :

  • Toujours choisir l’option la plus facile et la moins contraignante (carpe diem !).
  • Essayer de rester « scientifique ». Il faut comprendre avant d’agir pour arriver à tenir son sommeil en douceur.

Comprendre les mécanismes et les implications de la fatigue et de la somnolence :

  • Définition de la fatigue (et des troubles fonctionnels)
  • Définition de la somnolence (et de la place de la sieste…)

Connaître et favoriser les synchronisateurs du sommeil :

  • Lumière : déterminer une heure de réveil régulière le matin.
  • Chaleur : favoriser les pertes thermiques, en soirée, en ouvrant le lit (et la fenêtre) quelques instants avant d’aller dormir, en marchant pieds nus, en buvant une boisson fraîche (ou même en prenant une petite douche ou un bain de pied).
  • Alimentation : éviter les repas copieux durant la nuit (surtout les glucides rapides qui favorisent l’éveil). On peut manger un fruit ou un laitage si nécessaire car la faim peut, par contre, être éveillante.
  • Éviter les excitants : café, tabac (attention aux patchs à la nicotine) et l’alcool qui dégrade la qualité du sommeil et provoque souvent des réveils pénibles dans la nuit.
  • De très nombreux médicaments peuvent interférer avec le sommeil. Attention notamment aux médicaments contre le rhume ou contre la douleur.

Amplifier les stimuli d’éveil dans la journée.

  • Respecter la contre-indication à la sieste (sauf en cas d’urgence).
  • Activité physique agréable et ludique (plutôt vers 18-20h).
  • Exposition à la chaleur (qui « remplace » le sport), sauna, hammam, bain ;
  • Exposition à la lumière du ciel (les gens exposés à la lumière extérieure dorment mieux), ou des ampoules « lumière du jour » 

Essayer de diminuer le temps (inutilement) passé au lit sans dormir :

  • Vous n’êtes pas obligé d’aller au lit avant d’avoir réellement sommeil (normalement on doit s’endormir en moins de 15 minutes) ;
  • Si vous ne dormez pas, vous n’êtes pas obligé de rester au lit plus de 20 ou 30 minutes pour rien. Vous serez gagnant si vous choisissez de vous relever pendant quelques instants.
  • Le matin, si vous ne dormez plus, vous n’êtes pas obligé de rester au lit. Quelle que soit la durée du sommeil, il peut être bénéfique de ne pas contrarier ses horloges ;
  • S’il persiste de longues périodes d’éveil au cours de la nuit, vous devriez peut-être choisir d’avancer un peu l’heure de votre réveil. Cela augmenterait peu à peu la pression de sommeil la nuit suivante.

Essayer de ressentir les sensations qui précèdent le sommeil.

La « somnolence » est un état agréable qui traduit une pression d’endormissement. Elle traduit une exigence du cerveau qui nous conduit à adopter un comportement favorable au sommeil..

  • Choisir de passer en position allongée uniquement pour dormir. quand le sommeil se fait sentir. interrompre son activité.
  • Il est inutile de trop s’occuper au lit. On ne peut pas dormir et lire, regarder la télévision, manger, écrire ou travailler.
  • Si, dans ces conditions, on n’arrive pas à dormir, c’est que le cerveau n’est pas disposé à y parvenir. Il est mieux d’aller s’occuper ailleurs que dans le lit, quelques 20/30 minutes sans s’allonger (pour ne pas tomber en sommeil « par surprise »).
  • Programmer un plan de sevrage de tous somnifères

    , y compris les produits grand public, qui contribuent tous à aggraver la défiance et l’incompétence vis à vis du sommeil.

    • Connaître le principe d’action des somnifères.
    • Comprendre leurs inconvénients (y compris occasionnels).
    • Ne pas négliger et anticiper les difficultés du sevrage.

CONTACT

 

(+33) 06 37 78 21 93

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